Une Suisse allemande
La Suisse est une confédération qui peut être allemande, française ou italienne. Souvent la Suisse sportive est au plus haut niveau quand elle parle alémanique, c’est à dire suisse allemande. Roger Féderer en est un exemple. Martina Hingis, un autre. A la tête de la sélection des Natis, la défération Suisse a donné les clés à une ex-internationale allemande Martina VOSS-TECKLENBURG (championne du Monde, 125 sélections) qui a mis, au milieu du jeu, Lara Dickenmann (30 ans, 99 sélections, 50 buts, Olympique Lyonnais), suisse allemande.
Une équipe internationale
Encore en phase d’apprentissage avec un bilan mitigé en 2015 avec 5 défaites, 1 victoire et 1 match nul (*) ; la Suisse potentiellement ne représente aucun danger pour les nadeshiko, championne du monde 2011, championne d’Asie 2014.
Le Japon, champion des titres.
sauf que les japonaises sont loin de leur prestation de 2011 avec 3 victoires et 3 défaites. L’équipe japonaise avec 6 centenaires représentent des garanties de réussite qui n’arrivent pas à s’exprimer dans les matches amicaux.
La différence entre les deux équipes est facile à comprendre : les japonaises évoluent dans des équipes du haut de tableau. Elles ont l’expérience ces titres : mondiaux avec 2011, Argent Olympique avec 2012, Championne d’Asie avec 2014.
Reste que le football est souvent fait de cycles. Celui de la Suisse semble être en voie de démarrage. Au Japon de dire si le sien se termine.
William Commegrain lesfeminines.fr
Sur eurosport 4h am