Ce départ 2021 sera à retenir, laissant la Covid au rang de l’habitude. L’habitude, un sentiment à totalement bannir un 14 février, date du calendrier qui fête les amoureux de la Saint Valentin.

Des noces de cuir qui tannent la peau !

Pour ses deux années de couple avec le Tournoi de France, qualifiées de « noces de cuir », les invités norvégiennes et islandaises n’y sont pas allées de mains mortes ! Les voilà qui se décommandent la veille pour le lendemain, ne voulant pas respirer l’air de l’Est de la France, obligeant les françaises à une partie double avec les Suissesses.

Katoto, Gauvin et Jean-François à la maison

Un programme offert à 27 Bleues. Quatre de plus que les sélections habituelles, en prévision des cas positifs à la Covid. Et pourtant, ce sont deux blessées qui se désengagent de ce stage : Marie-Antoinette Katoto (PSG, 22 ans), habituelle au classement du podium des buteuses de la D1FArkema, commençant à se créer son contingent de sélections internationales (15) et Oriane Jean-François (Paris FC), tout juste débutante chez les A.

Un ensemble qui s’est ajoutée à l’impossibilité pour Valérie Gauvin (Everton) de quitter le Royaume-Uni. La joueuse évoluant cette année en Angleterre, ayant d’ailleurs « réussi son intégration ». Après Montpellier qui lui a ouvert les portes de la sélection, elle est restée dans l’Île de Boris Johnson, maintenant autonome au regard de l’Union Européenne. Témoin de ce que le quotidien du Brexit implique.

Malard, rappelée au poste d’attaquante

(27-3+1) = Ce sont 25 joueuses qui sont réunies à Clairefontaine pour préparer la double confrontation avec la Suisse à Metz les samedi 20 et mardi 23 février (21h10 en direct sur W9) après l’arrivée de Melvine Malard (Olympique Lyonnais). Une place de numéro 9 qui s’ouvre sur une des deux rencontres ; les deux titulaires, Katoto et Gauvin s’étant désistées. Eugènie Le Sommer devant certainement faire le premier round.

William Commegrain Lesfeminines.fr