Vlatko Andonovski, nouveau coach des americaines profite de son second camp, prévu a Miami pour ne convoquer aucune championne du monde. Il les laisse libre de profiter de bon temps. Une vaste revue d’effectif ouverte aux meilleures universitaires ainsi qu’à celles ayant brillé en Nwsl, en l’absence des internationales, qui étaient occupées à préparer la coupe du monde française.

Une liste prévoyant l’ex montpelliéraine et gardienne Casey Murphy, passée maintenant au Reign FC, future club de l’OL Groupe.

GOALKEEPERS (2): Jane Campbell (Houston Dash; 3/0), Casey Murphy (Reign FC; 0/0)

DEFENDERS (9): Maycee Bell (UNC; 0/0), Malia Berkely (Florida State; 0/0), Imani Dorsey (Sky Blue FC; 0/0), Emily Fox (UNC; 3/0), Naomi Girma (Stanford; 0/0), Sarah Gorden (Chicago Red Stars; 0/0), Hailie Mace (Rosengård FC, SWE; 3/0), Kiara Pickett (Stanford; 0/0), Margaret Purce (Portland Thorns FC; 1/0)

MIDFIELDERS (7): Danielle Colaprico (Chicago Red Stars; 2/0), Vanessa DiBernardo (Chicago Red Stars; 0/0), Jordan DiBiasi (Washington Spirit; 0/0), Sarah Killion (Sky Blue FC; 0/0), Kristie Mewis (Houston Dash; 15/1), Brianna Pinto (UNC; 0/0), Ashley Sanchez (UCLA; 0/0)

FORWARDS (6): Bethany Balcer (Reign FC; 0/0), Madison Haley (Stanford; 0/0), Ashley Hatch (Washington Spirit; 2/0), Paige Monaghan (Sky Blue FC; 0;0), Sophia Smith (Stanford; 0/0), Ally Watt (Texas A&M; 0/0)

L’intention étant de tester le niveau de ces jeunes pour apporter de la profondeur de banc a l’équipe américaine même si l’échéance des Jeux olympiques de Tokyo et sa préparation laissent peu d’espoir d’avoir des nouveautés à moins de nouveaux talents prêts a exploser.

A savoir : L’équipe des usa est prioritaire dans le football féminin américain et de nombreux camps sont organisés en plus des périodes FIFA. Comme au rugby masculin français, quand elles sont en compétition et stages, le club doit puiser dans le reste de son effectif. Les internationales américaines font donc peu de matches de championnat quand les saisons sont couronnées d’une compétition internationale.

C’est la raison pour laquelle personne n’a compris le Onze de la NWSL, saison 2019. Mettant en valeur toutes les championnes du Monde, quasiment jamais joueuse dans le championnat.

William commegrain lesfeminines.fr