La Coupe du Monde de football féminin organisée en France, pour sa 8e édition, trouve ses propres partenaires. Lié d’abord par ceux affiliés à la FIFA, déjà présents lors de la Coupe du Monde 2018 en Russie, le COL (Comité d’organisation Local) est allé, de son propre chef, avec sa tablette et les chiffres qui vont avec, pour convaincre 6 partenaires nationaux, sélectionnés pour leur dimension nationale.

Après le CREDIT AGRICOLE, EDF et la SNCF, c’est le fournisseur historique d’accès internet (ex- France Telécom ou PTT pour les plus anciens) ORANGE, leadeur en France sur son marché, qui vient de signer sa collaboration avec le COL. Un ensemble de partenaires nationaux qui a vu, dès ses débuts, l’intégration de deux structures en attente de « renommée populaire », PROMAN (Intérim) et ARKEMA (Chimie), cette dernière évoluant quand même autour de 8 milliards de CA pour 20.000 salariés annoncés.

Un ensemble cohérent autour des valeurs de la performance féminine

Six partenaires nationaux qui tournent autour de la performance (ARKEMA), de la mobilité (SNCF), du financement de l’économie (CREDIT AGRICOLE), des ressources de production (EDF) sans oublier le numérique (ORANGE) et les ressources humaines (PROMAN).

Tous autour du message développée par la directrice RSE de l’émetteur, Gaëlle Le Vu : « Nous sommes heureux de participer à l’organisation de cet événement sportif exceptionnel aux cotés de la FIFA, du LOC et des autres supporters nationaux. Cette compétition est pour nous une formidable opportunité de réaffirmer notre soutien au football féminin et notre attachement aux valeurs de mixité et d’égalité des chances qu’il véhicule.».

Assez proches de ce qui est nécessaire à la performance d’une entreprise. Un peu ce qui est le LOC, structure ponctuelle qui doit implanter un produit FIFA exigeant en terme de délais, performances, communications et dont le cahier des charges donnent des cheveux blancs à tous collaboratrices ou collaborateurs, obligé à disparaître et devant faire fonctionner les coeurs et les cerveaux d’une centaine de personnes avec un budget maximum de 64 millions d’euros.

Pour une jeune et récente Coupe du Monde (8e édition) comme celles des jeunes (U17, U20) qu’elles soient ouvertes aux hommes comme aux féminines, le COL Français a montré, dans un environnement concurrentiel -les événements sportifs ne manquant pas-, qu’il a trouvé les mots et les intérêts pour que ces partenaires s’engagent dans les mots football féminin.

Une Coupe du Monde qui a des objectifs élevés.

La 8e Coupe du Monde est attendu avec un objectif d’audience télévisée supérieur à 1 milliard sur un mois de compétition (7 Juin -7 Juillet) quand la 21e Coupe du monde en Russie a eu une audience de 3,572 milliards de personnes selon la FIFA. 54 matches de programmés auprès de neuf villes hôtes.

La FIFA a fixé un objectif de 1,3 million de billets vendus et Noël Le Graet, Président du LOC et de la FFF, table sur une occupation des neuf stades de la compétition à 80%.

Paris, Reims, Valenciennes, Rennes, Le Havre, Grenoble, Lyon, Montpellier et Nice sont les neuf villes hôtes chargés de recevoir le public mondial et les 24 équipes qualifiées. Neuf européennes (France, Italie, Espagne, Allemagne, Angleterre, Ecosse, Pays-Bas, Norvège, Suède), cinq asiatiques (Japon, Chine, Corée du Sud, Thaïlande, Australie), Amérique du Nord (Jamaïque, USA et Canada), Amérique du Sud (Brésil, Argentine, Chili), Afrique (Afrique du Sud, Cameroun, Nigéria), Océanie (Nouvelle-Zélande)

William Commegrain Lesfeminines.fr