Billet d’humour. Vous connaissiez Claudia Romani ? Non, moi non plus. Maintenant, oui. Vous aussi.

Trouvé sur sports.fr en cherchant sur google le mot « arbitre féminin ». Quand vous lisez sa fiche wikipédia, vous vous demandez quel domaine elle n’a pas touché. D’ailleurs, c’est à la toute fin que vous apprenez qu’elle a réussie à devenir arbitre (2015).

Une fois que j’étais en Italie pour une affaire dans le milieu de l’ameublement, le directeur commercial avait dit cette phrase : « Ah les Français ! » en riant quand passait en boucle, sur toutes les télés du monde, une opération contre le Sida avec un préservatif géant qui avait été posé sur l’obélisque de la Concorde.

Là, je me permets la même chose. « Ah les italiens, .. Arbitre ??! Allez, c’est Anita Ekberg dans la Fontaine de Trevi sous les yeux de Marcello Mastroianni. » Qui lui a donné le concours ? Chi ha attribuito il concorso? Crise cardiaque ou AVC pour lui. Choisissez.

Extrait de sports.fr

« Ancien mannequin, désormais arbitre, Claudia Romani a posé sur Instagram avec le maillot de l’AC Milan.

Claudia Romani, ce nom vous dit peut-être quelque chose et pour cause. Il y a quelques mois, cet ancien mannequin, 33 ans, élue « Best Body Bikini » en 2012 devant Adriana Lima et Naomi Campbell, obtenait son diplôme d’arbitre en Italie. Un buzz qu’elle a ensuite alimenté en participant, par exemple, à la neuvième saison de l’émission de télé-réalité Secret Story.

Et voilà que la demoiselle refait parler d’elle en ce début d’année 2016 avec une photo publiée il y a deux jours sur son très suivi compte Instagram (181.000 followers), Egalement connue pour ses aventures avec d’ex-footballeurs comme Filippo Izaghi et Christian Vieri, la marraine du club de L’Aquila, sa ville natale, pose avec le maillot de l’AC Milan, son équipe de cœur.

Un cliché qui pose un léger problème d’éthique dans la mesure où Claudia Romani pourrait très bien être amenée, à l’avenir, à diriger des matches de Serie B voire de Serie A. Imaginez donc qu’elle soit choisie un jour par la ligue transalpine pour arbitrer une rencontre de ses Rossoneri chéris, les supporters adverses n’auraient alors aucun mal à mettre en doute sa neutralité… »

Qui lui a donné son diplôme ?

Les italiens, toujours difficile pour eux d’appliquer les règles. Faut dire, ce sont les plus près du Bon Dieu avec le Vatican. Alors :

« Qu’est-ce que c’est un arbitre ? Io, No lo so » répondent-ils. (* moi c’est pas moi. Je ne sais pas !)

Croyez le ou pas. On préfère les vraies arbitres. Billet d’humour, simplement.

William Commegrain lesfeminines.fr